A l'occasion de notre 50e anniversaire, nous avons demandé à Angelika et à Köbi Künzle pourquoi ils préféraient partir ensemble en montagne.
Tout a commencé par une première randonnée en montagne sur le Säntis, en août 1991, avec deux jeunes amoureux et un équipement que l'on pourrait qualifier aujourd'hui d'amateur. Dès lors, rien ne pouvait arrêter Köbi et Angelika. D'innombrables randonnées en montagne ont suivi, en toute saison. Mais Angelika et Köbi ont encore plus en commun. En tant que couple, ils dirigent ensemble une apiculture professionnelle dans laquelle ils investissent beaucoup de temps et d'engagement.
Avec un pied cassé, ils ont découvert la randonnée
Après une fracture du pied, Köbi n'a pas pu renoncer au ski. Son pied endommagé ne pouvait "malheureusement" plus s'adapter qu'à des chaussures de ski de randonnée. Cela lui a ouvert une voie inattendue dans le monde de la montagne en hiver. Depuis, les randonnées à ski communes sont devenues incontournables. La chienne Lilly, qui peut profiter des descentes depuis son sac à dos, est toujours de la partie.
La sécurité, c'est la sécurité
Le couple ne recherche pas le danger lors de ses randonnées, même s'il se déplace régulièrement en dehors de leur zone de confort. En fin de compte, le but de la randonnée devrait toujours être de rentrer chez soi en bonne santé. En ski de randonnée, une bonne visibilité est essentielle. Il va également de soi que l'équipement doit être complet. Et les deux savent quand ils doivent faire demi-tour. Angelika se souvient de leur récente randonnée dans le Rätikon, qu'ils ont dû interrompre en raison du risque de crue.
"L'objectif est toujours de rentrer chez soi en bonne santé. C'est plus important que le sommet."
Un casque montre la voie
Le couple a appris l'hiver dernier lors d'une randonnée à ski dans le Val d'Aoste que l'équipement peut tout à fait développer une vie propre. La longue pente de montée vers le Bödagrat était fortement verglacée. Pendant la pause-thé, le casque s'est soudainement détaché et a dévalé la pente gelée sur 700 mètres de dénivelé. Pour le reste de la journée, il n'était donc pas question de sommet, mais de recherche de casque. Le casque a effectivement pu être récupéré. Mais justement : sûr est sûr - le casque a été échangé contre un nouveau chez Bächli.
"Nous avons dû regarder, impuissants, notre casque dégringoler les 700 mètres de dénivelé en un temps record."
Angelika et Köbi ont encore de nombreuses randonnées devant eux. Ils se réjouissent particulièrement d'une nouvelle édition du Rätikon-Tour - cette fois, espérons-le, sans inondations.
Angelika & ; Köbi
En route ensemble depuis : 33 ans
Premier tour ensemble: Säntis
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Ce texte a été traduit automatiquement de l'allemand. Le texte original est disponible sur notre site allemand.
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