Aperçu de la situation :
1. une montagne touristique différente : Hoher Kasten, Alpstein
2. la montagne locale secrète : Hahnen, Alpes uranaises
3. exercice d'équilibre sans fin : Arête du Raimeux, Jura
4. respirer l'air de la haute montagne : Scalettahorn, Alpes de l'Albula
5. Benvenuti Ticino : Pizzo Molare, Alpes lépontines
6. bonus en plaine : Wasserflue, Jura
1. Une montagne touristique différente : Hoher Kasten, Alpstein
L'Alpstein est une attraction touristique. Le Hohe Kasten en particulier : au sommet, par beau temps, on s'agite comme dans une fête foraine. Merci au téléphérique et au restaurant tournant. Mais on peut aussi faire autrement - la montagne offre une ascension lucrative depuis la vallée du Rhin par l'imposante face est, également appelée Plofora.
Dans la partie supérieure de la randonnée, la vue s'ouvre sur l'Alpstein.
Le départ se fait au petit parking de Schwendirank, juste sous l'imposante paroi rocheuse. Ceux qui arrivent en transports publics prennent encore quelques mètres de dénivelé à partir de Sennwald. La randonnée passe d'abord par des flancs boisés, puis suit une ligne zigzagante intelligente le long de bandes rocheuses et de petites ascensions à travers la Plofora, pour finir par une magnifique arête jusqu'au Lienzerspitz. De là, le chemin est tantôt plat, tantôt raide à travers des prairies jusqu'au Hoher Kasten.
L'attrait de cette randonnée réside d'une part dans la vue époustouflante sur la vallée du Rhin qui s'ouvre de plus en plus et, d'autre part, dans la diversité de la randonnée alpine qui est sans cesse parsemée de petites escalades. Il est facile de trouver son chemin grâce à des sentiers évidents, seules les bifurcations et les ascensions rocheuses nécessitent un sens de l'orientation. Le balisage est certes présent, mais pas toujours visible au premier coup d'œil. La ligne idéale est généralement logique pour les randonneurs alpins expérimentés. Il peut y avoir des passages délicats lors de la traversée de zones d'herbe mouillée, sinon l'itinéraire ne présente pas de dangers notables.
Celui qui a assimilé le monde parallèle du sommet bizarrement construit - mais tout aussi spectaculaire du point de vue de la vue - peut entamer la descente via le sentier de randonnée qui passe par l'idyllique Alp Rohr pour revenir au parking. Pour les voyageurs en transports publics, il est recommandé de se rendre dans la paisible ville de Brülisau, ou de prendre le téléphérique.
- Anfahrt / Orientierungsort: Sennwald im Rheintal
- Start: Parking Schwendirank
- Destination: Sommet Hoher Kasten / Parking Schwendirank / Brülisau
- Mètres de dénivelé : + 950 / - 950 (circuit au départ du parking)
- Distance: 9,5 km (circuit au départ du parking)
- Difficulté: T4+ / T5, UIAA I
- Trace GPS: Download
- Matériel: éventuellement piolet pour les passages d'herbe raide.
- Point clé: Une petite montée sur un ressaut rocheux, à peu près à la moitié de l'itinéraire.
- Caractère: forêt et prairies, passages rocheux avec traversées et courtes escalades
- Parfaite pour: les amateurs de vues, les touristes en vadrouille, ceux qui cherchent le changement
- Pourquoi en automne: Pendant les mois d'été, le soleil tape impitoyablement dès le matin contre la plofora exposée. En automne, en revanche, un vent tiède souffle autour de la formation rocheuse.
2. La montagne locale secrète : Hahnen, Alpes uranaises
Le Titlis, montagne emblématique d'Engelberg. Vraiment ? Les autochtones devraient plutôt considérer le coq d'en face comme "leur" montagne. Et pas à tort. Il se dresse, imposant, quasiment à l'orée du village. C'est un bloc abrupt qui, à première vue, ne semble pouvoir être escaladé qu'avec du matériel d'escalade. Mais on peut aussi l'escalader à pied - même si cela demande un peu d'effort.
Sur la deuxième traversée en direction du couloir final. A droite, en arrière-plan, le Titlis.
Le point de départ est littéralement le bout du monde, ou plutôt la petite banlieue appelée Horbis, dans une petite vallée latérale d'Engelberg. Tu peux facilement atteindre ce point à pied depuis le village. Des sentiers de montagne mènent à Ober Zieblen. À partir d'ici, la première partie de l'itinéraire se déroule directement à travers une prairie, le long d'une clôture, juste en dessous de la première bande rocheuse. Un peu plus détendu, mais toujours en gagnant du dénivelé, l'itinéraire se poursuit vers l'est à travers des champs d'éboulis jusqu'à un premier couloir. Ceux qui le souhaitent peuvent utiliser les marches en fer, mais le rocher est facile à grimper pour les personnes expérimentées. Tu devrais renoncer aux restes d'anciennes cordes fixes.
Continue à longer une autre bande de rochers jusqu'au deuxième couloir. Celui-ci est nettement plus long et plus raide. Il faut avoir le pied sûr et savoir grimper dans un terrain raide. Attention à ceux qui consultent d'anciennes descriptions de courses et qui lisent quelque chose sur les cordes fixes : Celles-ci n'existent plus dans le deuxième couloir. L'itinéraire est donc devenu plus exigeant.
A la sortie, il ne manque plus que quelques pas pour atteindre la croix du sommet. La récompense : une vue plongeante incroyable sur Engelberg et un panorama allant des Spannörtern au Titlis.
La descente s'effectue par le même itinéraire. C'est justement dans le couloir supérieur que des pitons de forage et des emplacements sont aménagés. Le rappel est recommandé pour les alpinistes moins expérimentés. De retour à l'Ober Ziebeln, on peut soit revenir par le même chemin au bout du monde, soit descendre directement sur Engelberg.
- Anfahrt / Orientierungsort: Engelberg dans le canton d'Obwald
- Départ: Fin du monde
- Arrivée: Engelberg / Fin du monde
Mètres de dénivelé : + 1'500 / - 1'600- Distance: 8,8 km
- Difficulté: T5 / T5+, UIAA II
- Trace GPS: Download
- Matériel: corde à simple de 40m et matériel de descente, casque (pierres détachées), crampons et piolet en cas de neige.
- Point clé: Le deuxième couloir est raide et nécessite une bonne technique d'escalade. Ce même passage peut être délicat à la descente.
- Caractère: Couloirs rocheux, roche parfois friable, passages en prairie et éboulis.
- Parfaite pour: les grimpeurs et les descendeurs en rappel, les amateurs de contact avec la roche, les grimpeurs de Hausberger, les gymnastes de couloirs.
- Pourquoi en automne: D'une part, il n'y a pas beaucoup d'ombre dans la voie quand il fait chaud, d'autre part, il reste souvent de la neige dans les couloirs pendant une longue période au printemps.
Un exercice d'équilibre presque sans fin : Arête du Raimeux, Jura
Qu'y a-t-il de plus beau que les arêtes du Jura ? Tu trouveras peut-être le plus spectaculaire d'entre eux sur le contrefort ouest du Mont Raimeux. Une crête presque infinie en calcaire parfait, avec un plaisir garanti et des escalades ludiques. Un rêve pour les randonneurs alpins, surtout lorsqu'il y a déjà de la neige en altitude et qu'il fait toujours doux dans les montagnes du Jura plus bas.
Montée en bas de l'arête. On a l'impression que cela continue indéfiniment de cette manière.
Moutier sert de point de départ pour la randonnée-cramponnage sur la crête du Raimeux. En voiture, tu longes les gorges de Moutier et tu te gares quasiment sous le contrefort de l'arête. Si tu optes pour les transports publics, tu seras sur place en 20 minutes environ, à pied, au départ de Moutier. Une fois parti, on ne perd pas de temps inutilement - on monte une dalle rocheuse raide par un chemin direct. Celle-ci semble plus inaccessible qu'elle ne l'est en réalité. Une fois arrivé sur l'arête, la devise est : toujours passer directement par-dessus. Il est possible de contourner la plupart des ressauts par la gauche ou par la droite, mais l'itinéraire est généralement logique.
Il est possible de descendre en rappel sur environ la moitié du parcours. L'emplacement est parfaitement aménagé et ceux qui le souhaitent peuvent contourner la piste de rappel à pied. S'ensuit une petite montée à la verticale sur quelques broches en acier. C'est une affaire exposée et aérienne, mais techniquement, elle ne dépasse pas le deuxième degré d'escalade. Cette section peut également être contournée.
Continuellement, l'arête se perd lentement mais sûrement dans la forêt. Ici, il ne vaut plus la peine de continuer sur le rocher. Une corde fixe, il est vrai mal installée, permet d'atteindre le sol de la forêt. Continuer vers le haut jusqu'à ce que le décor s'ouvre ; la randonnée est terminée.
Celui qui le souhaite peut continuer sur des chemins confortables jusqu'au sommet du Mont Raimeux, sur lequel trône une tour d'observation datant de la Première Guerre mondiale. La descente se fait par des sentiers réguliers pour revenir au parking, respectivement à Moutier.
- Départ: Moutier / Gorges de Moutier
- Arrivée: Mont Raimeux / Moutier
- Dénivelé : + 850 / - 850 (depuis le parking avec le Mont Raimeux)
- Distance: 9 km (depuis le parking avec le Mont Raimeux)
- Difficulté: T5+, UIAA II (plus facile ou plus difficile selon le choix de l'itinéraire)
- Matériel: corde à simple de 30m et matériel de rappel, casque (pierres détachées).
- Trace GPS: Download
- Point clé: Court passage en rappel (env. 10 mètres) et passage d'escalade vertical sur des broches en acier (env. 5 mètres). Les deux peuvent cependant être contournés.
- Caractère: Arête, parfois exposée, rocher adhérent, techniquement ludique.Parfaite pour:les randonneurs d'arête, les fans de calcaire jurassique, les grimpeurs et les descendeurs
- Pourquoi en automne:L'arête est entourée de forêts qui, à la saison dorée, resplendissent toutes dans une magnifique mer de couleurs.
4. Prendre l'air en haute montagne : Scalettahorn, Alpes de l'Albula
Davos, ville alpine vibrante. Col de la Flüela, route de montagne monumentale. Dischmatal, coincée entre les deux, un havre de paix sans pareil. Accessible directement depuis la métropole grisonne, ce monde parallèle au trafic bruyant du col et à la petite ville animée n'est pas seulement un changement bienvenu, mais aussi le point de départ de randonnées fantastiques, avec même un soupçon de sensation d'alpinisme. Le tour du Piz Grialetsch et du Scalettahorn au départ de Dürrboden vaut particulièrement la peine.
Vue de la vallée sur les sommets d'arrivée au centre. Image : Tiia Monto, CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons.
Tu commenceras par te réchauffer les jambes sur le sentier balisé en direction de la Chamanna da Grialetsch CAS. Dans des conditions automnales, veille à porter des vêtements chauds, tu te trouveras déjà à plus de 2500 mètres d'altitude à la cabane - et ça monte encore.
Continue à avancer vers le sud en direction du glacier - Vadret da Grialetsch -, toujours sur le chemin officiel. Peu après le P 2665, tu passes à l'est de l'arête rocheuse, lentement mais sûrement dans la glace. Par la Fuorcla Vallorgia, tu arrives par le sud au sommet du Piz Grialetsch. Tu peux le laisser de côté si tu le souhaites et continuer directement vers l'ouest par l'arête sud jusqu'au Scalettahorn. La descente suit l'arête nord-ouest et continue à traverser un terrain caillouteux vers l'ouest jusqu'au col de Scaletta. Là, tu trouveras à nouveau un chemin de randonnée qui te ramènera à Dürrboden.
La randonnée a un caractère exigeant, car elle passe par des (petits) glaciers. Il n'y a cependant guère de difficultés techniques pour les randonneurs chevronnés, mais l'équipement de base pour la haute montagne doit être emporté dans le sac à dos.
- Accès / Lieu d'orientation: Davos, Grisons
- Départ: Dürrboden
- Arrivée : Piz Grialetsch / Scalettahorn / Dürrboden
- Dénivelé: + 1'320 / - 1'329 (avec Piz Grialetsch)
- Distance: 14 km
- Difficulté: T4+, L
- Matériel: équipement d'alpinisme, corde
- Trace GPS: Download
- Points clés: glaciers et champs de neige supposent des connaissances de base en alpinisme.
- Caractère: austère, haut-alpin, endurant.
- Parfaite pour: ceux qui cherchent l'inconnu, les fans de glace, les randonneurs dans la rosée.
- Pourquoi en automne: Le tour est parfait à pied avant les premières grandes neiges. En hiver, les deux sommets deviennent un but de randonnée à ski.
5. Benvenuti Ticino : Pizzo Molare, Alpes lépontines
Un beau cône pointu, c'est le Pizzo Molare. Situé entre les vallées de la Léventine et de Blenio au Tessin, il séduit par sa vue panoramique et ses nombreuses possibilités d'ascension. Pour ces dernières, c'est surtout la variante à partir du côté est, plus précisément de la Capanna Piandios, qui est particulièrement intéressante.
Une belle montagne entre le Val di Blenio et la Valle Leventina avec une vue magnifique.
La cabane en elle-même est accessible à pied depuis la petite localité de Ghiariva. Une route aventureuse y mène depuis Prugiasco. Ceux qui le souhaitent peuvent bien sûr enfiler des chaussures de randonnée dès le fond de la vallée, mais les plus de 1000 mètres de dénivelé supplémentaires sont certainement une affaire de goût.
De la Capanna Piandios, on se dirige maintenant vers le sud sur des chemins de randonnée jusqu'à la Croce del Mottarone, une croix surdimensionnée au sommet. À partir de là, le cœur alpin bat : une ligne directe monte le long de l'arête jusqu'au Pizzo di Nara. Le terrain rocheux est aéré, mais bien praticable. La suite de l'itinéraire descend le long de l'arête en direction du Poncione di Nara. Au P 2246, tu tournes à droite et tu traverses les éboulis jusqu'à la Bocchetta di Sasso Bianco. Tu peux aussi contourner le Poncione di Nara par la gauche ou même le gravir directement - ces variantes sont plus délicates et nécessitent parfois un deuxième degré d'escalade.
Voici la dernière partie : la montée au Pizzo Molare. Tu arrives au sommet en suivant les meilleures traces. Le retour se fait par le même itinéraire jusqu'au col, où l'on redescend plus ou moins directement au refuge à travers le cirque.
- Accès / Lieu d'orientation: Prugiasco, Val Blenio
Départ: Capanna Piandios- Arrivée : Pizzo di Nara / Poncione di Nara / Pizzo Molare / Capanna Piandios
- Dénivelé : + 800 / - 800
- Distance : 6,5 km
- Difficulté : T4
- Matériel : Pas de matériel spécifique nécessaire.
- Trace GPS: Download
- Point clé: Arête au Pizzo die Nara, éventuellement montée directe au Poncione die Nara.
- Caractère: arête, terrain en blocs, prairies escarpées.
- Parfaite pour: les amateurs de cabanes, les gymnastes d'arêtes, les personnes cherchant un maximum de variété avec un minimum d'effort, les fans des Alpes du Sud.
- Pourquoi en automne: L'automne est particulièrement beau au sud des Alpes et les formations de brouillard serpentent de manière spectaculaire autour des montagnes d'altitude du Tessin.
6. Bonus en plaine : Wasserflue, Jura
Pourquoi fuir le brouillard ? Peut-être a-t-il même son charme ? En automne, le Plateau plonge régulièrement dans la soupe grise et n'est surtout pas connu pour les randonnées alpines. Mais c'est justement dans ce dernier cas qu'il existe toujours de petites possibilités d'évasion raffinées. Certes, il ne s'agit pas d'une région imposante et puissante comme dans les cantons de montagne, mais elle convient parfaitement pour assouvir sa soif de rocher. La Wasserflue, au nord d'Aarau, en est un exemple.
Le sommet de la Wasserflue se dresse au-dessus de la mer de nuages et offre un panorama d'une beauté bizarre.
Idéalement, il faut prendre le bus directement depuis la gare d'Aarau jusqu'à l'arrêt Küttigen, Fischbach. De là, prendre directement la direction de l'ouest sur un chemin de randonnée. Au niveau du petit ruisseau, tourner à droite dans le terrain ouvert, puis immédiatement à gauche en direction de la paroi est de la Wassserflue. Après avoir traversé des prairies et des forêts, on arrive bientôt au pied de la paroi. L'itinéraire qui y mène est d'ailleurs marqué ici et là.
L'ascension de la paroi suit une ligne logique, mais il existe plusieurs variantes, surtout dans la partie supérieure, dont le degré de difficulté varie fortement. À certains endroits, des cordes fixes sont même installées, mais elles ont déjà passablement vieilli. La ligne la plus facile passe par un couloir évident.
Après quelques mètres de dénivelé et quelques pas, le sommet de la Wasserflue est atteint et, avec un peu de chance, la limite du brouillard est franchie. La courte escalade est maintenant complétée en randonnée par la magnifique arête. Pour redescendre, il est possible de prendre le chemin qui tourne à gauche juste avant la Salhöhe.
En allant en direction de Hard, il vaut la peine de faire un petit détour par la Ramsflue, qui demande encore un peu d'escalade. Ici aussi, il y a de nombreuses possibilités de franchir les rochers, avec de nombreux degrés de difficulté.
Pour finir, il y a encore une arête : l'Egg-Grat, sur les contreforts de laquelle trônent les ruines de Königstein. Les derniers mètres mènent à Küttigen, où se termine la randonnée.
- Accès / Lieu d'orientation: Aarau / Küttigen
- Départ: Arrêt de bus Küttigen, Fischbach
- Destination : Wasserflue / Küttigen
- Dénivelé: + 620 / - 730
- Distance: 9,6 km
- Difficulté: T5-, UIAA I (plus difficile selon la variante)
- Matériel: éventuellement piolet pour l'herbe raide.
- Trace GPS: Download
- Point clé: Partie supérieure de la paroi est de la Wasserflue.
- Caractère: calcaire jurassique, escalade en forêt et prairie, plateau.
- Parfaite pour: Courts et croquants, alpinistes de plaine, promenade-pour-avancés.
- Pourquoi en automne: Pourquoi fuir l'automne quand on peut aussi s'adonner pleinement à ses côtés prétendument négatifs sur le Plateau ?
RemarqueLes descriptions des tours sont données à titre indicatif, il en va de même pour l'exactitude des traces GPS et des extraits de cartes. Les niveaux de difficulté peuvent également être perçus subjectivement comme plus faciles ou plus difficiles. Il est indispensable de planifier personnellement son itinéraire.
Ce texte a été traduit automatiquement de l'allemand. Le texte original est disponible sur notre site allemand.
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